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� Mon troisi�me retour � Constantine en novembre 2007 Partie 1 | Partie 2 | Partie 3 | Partie 4 � Vendredi 9 De nouveau Djamel part travailler de bonne heure. Aujourd'hui c'est son fils, Hamza, qui m'accompagne. Et c'est reparti pour un nouveau grand tour � pied � travers Constantine. Il est 9 heures. Nous commen�ons par remonter vers le chemin des Dames, puis nous contournons l'immeuble dit ��Picasso��. En passant devant l'Ecole Normale du faubourg Lamy, la porte est entrouverte. Nous la poussons. Le gardien ne semble pas tr�s chaud pour nous laisser rentrer. Mais arrive le fils du directeur, qu'Hamza conna�t. Nous pouvons donc visiter les deux cours, mais pas de photo � la demande du gardien. Soudain Djamel m'entra�ne vers l'h�tel Cirta. Je n'ai pas vu, mais il semble qu'un policier nous voyant prendre des photos commen�ait � venir vers nous. Djamel demande si un de ses amis qui travaille au Cirta est pr�sent, mais il n'est pas l�. Nous ressortons discr�tement. Il est plus de midi, mais comme nous sommes vendredi tout est ferm�, il faudra donc patienter pour le d�jeuner. Nous trouvons un taxi qui nous d�pose pr�s de l'atelier de Djamel au Polygone. Djamel a du travail � faire, il se met donc sur ses machines, j'en profite pour faire quelques photos. Ce travail du cuivre est tr�s physique. Deux apprentis sont �galement pr�sents pour effectuer d'autres t�ches. En d�but d'apr�s-midi nous nous rendons au caf� El Haouzi de Mohamed Azizi, o� doit se tenir la rencontre. En arrivant nous commandons une petite omelette et quelques brochettes. Arrive alors notre h�te, qui commence � installer tables et chaises. Puis arrivent les musiciens de son �cole de malouf qui viennent r�p�ter chez Azizi, ce qui fait d'une pierre deux coups�: la r�p�tition et surtout le plaisir de les entendre pendant notre r�union. Les invit�s arrivent petit � petit. J'en connais la plupart, mais je d�couvre �galement de nouveaux visages. Tata Ouarda arrive � son tour, elle est malheureusement la seule femme de l'assembl�e, si on excepte les musiciennes. �
Les discussions vont bon train. Lokmane nous fait le plaisir de d�clamer un ou deux de ses po�mes. Mais il faut bien nous quitter. Nous reprenons un taxi jusqu'� la gare. Il est temps de rentrer apr�s cette journ�e bien occup�e. � |
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